Chocolat et Jambes sans Repos, un Lien Évident

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Explorez la relation complexe entre la consommation de chocolat et le syndrome des jambes sans repos (SJSR) pour en comprendre l’impact potentiel. Découvrez les subtilités, explorez les choix alimentaires et prenez des décisions éclairées pour des nuits plus paisibles.


Avez-vous déjà remarqué que vous laisser aller à la dégustation de chocolat peut engendrer un inconfort troublant et des jambes agitées ?
Cette question intrigante suscite la curiosité de nombreux amateurs de cette délectable gourmandise.

Alors que nous nous plongeons dans l’univers du chocolat et de son impact possible sur les jambes sans repos, nous tentons de démystifier les subtilités de cette connexion.

Plongeons ensemble dans ces nuances souvent négligées : comment nos choix alimentaires influencent le bien-être de nos jambes ?


Les bienfaits du chocolat


En règle générale, le chocolat est considéré comme un aliment sain pour la santé.
Il délivre des phyto-nutriments, des flavonoïdes et des polyphénols en plus grande quantité que la myrtille, c’est dire.

Son taux de théobromine est également un excellent facteur car il est stimulant, raison pour laquelle il est recommandé de ne pas en consommer le soir pour ne pas altérer le sommeil.

Enfin, il contient de la caféine qui, associée à la théobromine, accentue encore son effet tonique.

  • L’impact du chocolat sur le coeur

Les effets du chocolat sur la fonction cardiaque sont évidents.
Il diminue la tension artérielle en augmentant l’oxyde nitrique et en apportant un taux conséquent de magnésium, fer, potassium, cuivre, phosphore et zinc.

De nombreuses études montrent son impact très favorable sur les maladies cardiaques en diminuant le dérèglement endothélial qui est la cause majeure des affections du coeur et notamment de la dégradation des artères coronaires.
Les antioxydants contenus dans le chocolat parviennent à les protéger et vient en prévention de leur obstruction par le cholestérol et le calcium.

  • Le chocolat combat le cholestérol

Il a la capacité d’augmenter le taux de HDL et de réduite le taux de LDL (et notamment le LDL oxydé), ce qui diminue significativement le mauvais cholestérol.

  • Le taux de cortisol

Le chocolat est bien souvent consommé pour réduire le stress.
Il faut dire qu’en diminuant les taux de cortisol et d’adrénaline, son impact anti-stress est essentiel.

  • Le chocolat améliore le diabète

En diminuant l’insuline tout en augmentant la résistance à cette même insuline, le chocolat montre une certaine efficacité pour stabiliser le diabète.

  • Il lutte contre la dépression

Le chocolat a une action très positive sur l’humeur et aide réellement une personne dépressive à surmonter son état.

L’explication de son influence n’est pas clairement établie mais il est fort probable que l’augmentation du taux de sérotonine ainsi que la présence de théobromine soient impliqués dans l’amélioration.

  • Le chocolat accroit la circulation sanguine

Certainement en raison de l’oxyde nitrique, le chocolat est excellent pour la circulation sanguine.

Il aide également à la cicatrisation, prend soin de la peau et de son hydratation.

  • Il influe sur le métabolisme

Le chocolat agit sur le métabolisme en augmentant la glycémie et en améliorant le cholestérol et la tension artérielle.

En contrepartie de tous ces bienfaits manifestes, il est à noter que le chocolat contient peu d’oxalates, ce qui indique que si vous souffrez de calculs rénaux, il est préférable de ne pas en consommer.

chocolat bienfaits et méfaits





L’impact du chocolat sur le syndrome des jambes sans repos


Comment donc en arriver à douter des bienfaits du chocolat lorsqu’on évoque le syndrome des jambes sans repos ?

De nombreux patients confirment une augmentation significative des symptômes après avoir consommer du chocolat.
Qu’il s’agisse de crèmes glacées chocolatées ou d’un simple carré de chocolat noir, ils affirment avoir déclenché des crises majeures dans les heures ayant suivies l’ingestion.

Le chocolat contient de la caféine et toute source est contre-indiquée lorsqu’on souffre des jambes sans repos.


Que fait la caféine lorsqu’on souffre de SJSR ?


Il est avéré que toute forme de caféine est déconseillée lorsqu’on souffre du syndrome des jambes sans repos.
Qu’il s’agisse de café, de thé, de sodas, de boissons énergisantes et bien sûr, de chocolat.

Pourquoi ?

La caféine étant un stimulant, elle élève naturellement le taux d’adrénaline et donc le stress.
En supprimant sa consommation, l’organisme l’expulse rapidement et vous ressentez moins d’anxiété.

De plus, les recherches démontrent que boire un café six heures avant le coucher affecte le sommeil de la personne.
En effet, la caféine a une demie-vie d’environ 6 heures mais ce n’est pas son effet stimulant qui pose problème.

Les chercheurs ont relevé que bien que l’anxiété modifie sensiblement la perception procurée par les jambes sans repos, la caféine, elle, est directement responsable de l’excitation du système nerveux central ainsi que d’un effet contractile démultiplié des muscles striés.

La caféine induit donc une réactivité neuromusculaire accrue qui déclenche une expérience sensorielle de jambes agitées.
La fréquence et la virulence des épisodes sont également augmentées par une consommation régulière.





Combien de caféine contient le chocolat ?


Nous n’y pensons pas lorsque nous le savourons mais le chocolat noir contient 43mg de caféine pour 100 grammes.
Sachant qu’un simple carré de chocolat représente 30g, vous consommez donc pratiquement 13mg en une seule petite bouchée.

Vous hésitez entre un café et un chocolat chaud ?

Le café vous apportera environ 96mg de caféine quand le chocolat n’en apportera qu’environ 8mg.

Mais dans les deux cas, vous aurez consommé de la caféine qui est contre-indiquée pour les jambes sans repos et risque d’aggraver vos symptômes.


Comment éviter la caféine ?


Pour atténuer l’impact de la caféine sur les jambes sans repos, il est essentiel d’identifier et d’éliminer les sources de caféine dans votre vie quotidienne.

Essayez d’éviter :

– Les boissons énergisantes
– Le café
– Le chocolat noir
– Le café et la glace au chocolat
– Les sodas caféinés de type cola
– Tous types de thé
– Certains médicaments contre le rhume et les maux de tête

café et jambes sans repos

La caféine est omniprésente et se trouve un peu partout, et notamment dans :

– La noix de cola
– Le guarana
– Les biscuits
– Les céréales
– Le yaourt
– Les cocktails alcoolisés
– Toutes les formes de cacao
– Le lait chocolaté

N’oubliez pas que même le café décaféiné contient des traces de caféine (environ 0,01 %), et le thé peut apporter de 40 à 60 mg de caféine par tasse.
Opter pour des alternatives sans théine, comme le thé rouge (rooibos) ou le honeybush, peut vous aider à réduire votre consommation totale de caféine.
Faites des choix éclairés pour favoriser un meilleur sommeil et gérer efficacement les jambes sans repos.

thé caféine





Teneur en caféine dans divers aliments et boissons


Vous êtes-vous déjà demandé quelle est la teneur en caféine de vos aliments et boissons préférés ?

Cette table offre un aperçu de la teneur approximative en caféine pour 100 grammes (g) ou 100 millilitres (ml) de divers produits.

Gardez à l’esprit que ces valeurs sont approximatives et peuvent varier en fonction de facteurs tels que le temps d’infusion, la marque et les méthodes de préparation.
Adaptez votre consommation en fonction de vos préférences et de votre sensibilité à la caféine.

Aliment/BoissonTeneur en Caféine (mg pour 100g ou 100ml)
Café (infusé)40-120
Thé Noir (infusé)15-70
Thé Vert (infusé)20-45
Chocolat Noir43
Chocolat au Lait20
Chocolat BlancMinimal
Cola (normal)8-12
Boissons Énergisantes10-40
Poudre de Cacao12
Chocolat au Lait2-7
Café Décaféiné2-5
Thé Rouge (Rooibos)Sans Caféine
Thé HoneybushSans Caféine
Guarana (complément énergétique)40-80
Noix de Cola (utilisée dans certaines boissons)30-50
Biscuits ou Pâtisseries CaféinésVariable
Cocktails Alcoolisés CaféinésVariable

Répondre aux contre-arguments : Démêler la complexité


Tandis que la croyance dominante suggère que le chocolat pourrait aggraver le syndrome des jambes sans repos (SJSR), il est crucial d’explorer des perspectives alternatives pour comprendre la dynamique complexe de cette relation.

Perspectives alternatives

  • Variations individuelles
    L’impact du chocolat sur les symptômes du SJSR varie considérablement d’une personne à l’autre.
    Contrairement à une idée répandue, certaines personnes ne signalent aucune aggravation perceptible de leurs jambes sans repos même après avoir consommé du chocolat.
    Reconnaître ces différences individuelles est impératif pour démêler la complexité du lien entre le chocolat et le SJSR.
  • Expériences personnelles
    L’intégration d’anecdotes personnelles enrichit notre compréhension.
    Considérez le cas de Sarah, une personne souffrant régulièrement du SJSR, qui affirme que ses symptômes sont restés inchangés malgré des indulgences occasionnelles en chocolat.
    Ces récits individuels soulignent la nécessité de reconnaître les diverses réactions que peuvent encontrer les individus lorsqu’ils consomment du chocolat et souffrent des jambes sans repos.
  • Limites des recherches existantes
    Il est essentiel de prendre en considération les limites des études qui soutiennent une corrélation directe entre le chocolat et le SJSR.
    Elles ne sont pas fréquentes et peuvent présenter des lacunes, telles que des tailles d’échantillon réduites ou des biais potentiels, nécessitant une interprétation nuancée de leurs conclusions.

Bien qu’un nombre significatif d’individus associent la consommation de chocolat à une aggravation des symptômes du SJSR, l’exploration de perspectives alternatives éclaire la complexité de cette relation.
Les réponses individuelles variées, les conclusions de recherche contradictoires et les limites des études existantes soulignent la nécessité d’une compréhension globale.

En tenant compte de ces points de vue divers, vous pourrez prendre des décisions plus éclairées adaptées à votre expérience unique avec le syndrome des jambes sans repos.




Comment guérir le syndrome des jambes sans repos ?


Le chocolat est un péché mignon qui, dans le cadre d’un syndrome des jambes sans repos, peut avoir des conséquences très dommageables.

Si vous en souffrez, il est plus que préférable de l’éliminer pour ne pas aggraver les crises nocturnes.

Mais au-delà du chocolat, c’est surtout la caféine qu’il faut drastiquement limiter car elle est le déclencheur des impatiences.


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Marie

"La santé naturelle est essentielle pour moi; j'ai toujours privilégié les remèdes naturels en complément de la médecine traditionnelle."

Clause
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